Du côté de l’équipement inséparable en concert ou en soirée, voilà maintenant dans ma collection, ma première machine à fumée Chauvet H1600.
Avec un peu moins de 1600W de puissance pour le corps de chauffe, une option pour une télécommande filaire, sans-fil, mais aussi avec une interface DMX intégrée, cette machine devient pratique dans toutes les situations ! De plus, cette machine, à débit réduit et pilotée par DMX, arrive à générer un flux continu… Se transformant alors en véritable machine à brouillard que l’on peut placer en fond de scène ! Avec un débit d’un peu plus de 700 mètres cubes par minute à pleine puissance, cette machine propose des caractéristiques bien alléchantes !
Cependant, pratique mais… avec quelques limites…
En effet, première machine, réservoir percé… Malheureusement découvert un peu tardivement quand la machine s’est remplie peu à peu de liquide… Rien de mal, juste une machine à nettoyer et à renvoyer…
Autre soucis pour le moins étonnant : une masse électrique et une masse physique séparée !
En effet, premier branchement en DMX avec le boitier de contrôle DMX en USB, le Pro Mk2 de chez Enttec, fonctionnement impeccable de la machine ! Seconde utilisation : dans une salle de spectacle, dans une réseau DMX… et c’est la catastrophe. La machine qui affiche des températures aléatoires sur l’afficheur de contrôle, donc une machine qui ne se déclenche plus… Sur le coup, moyen trouvé pour résoudre le problème : une rallonge sans terre… Efficace mais très limite…
Après réflexion, il s’agirait d’un court-circuit entre la masse physique et la masse électrique du circuit de contrôle de la machine lorsqu’elle est branchée en DMX… La solution trouvée : une résistance de 16,4kOhms (2×8,2kOhm) entre la masse du réseau DMX et la masse DMX côté machine… Depuis… Plus de soucis, mais une différence de potentiel d’environ 2 volts aux bornes de cette résistance…
Un mystère énigmatique donc…